Ah... ça me renvoit six années en arrière... Une lectrice de ma première oeuvre offerte au hasard du net, m'a parlé de ce monsieur trouvant que nous avions du "commun" et c'est ainsi que j'ai découvert son travail.
C'est joliment dit, elle me manque la dame coccinelle, voir un soleil pareil depuis la fenêtre et ne pas pouvoir profiter de ses rayons, c'est rageant !
J'aime beaucoup ton coup d’œil ;-)
RépondreSupprimerOh, merci :)
SupprimerTiens, tiens, n'est pas sans me rappeler une Clémente bête à bon dieu ! Très heureuse d'être dans tes petits papiers, ici !
RépondreSupprimerAh... ça me renvoit six années en arrière... Une lectrice de ma première oeuvre offerte au hasard du net, m'a parlé de ce monsieur trouvant que nous avions du "commun" et c'est ainsi que j'ai découvert son travail.
RépondreSupprimerBienvenue Cécile.
Elle est pas bête la bête à bon dieu de se poser sur du si joli papier... d'amour en plus!
RépondreSupprimerOh merci ma chère Tilleul... très touchée la papetière ;-)
Supprimerton papier est tellement naturellement beau que même les bestioles sont illusionnées ;-)
RépondreSupprimerOh, me voilà devenue suis aussi rouge que la coccinelle. Un troupeau de bisous en pointillés.
SupprimerCoccinelle ma belle
RépondreSupprimersur un papier d'amour
naturellement posée
pour jouer les modèles
et te faire admirer !
C'est joliment dit, elle me manque la dame coccinelle, voir un soleil pareil depuis la fenêtre et ne pas pouvoir profiter de ses rayons, c'est rageant !
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